[Avis Film] DUFF : Le faire-valoir de Ari Sandel

Le Teen-movie est par excellence mon thème de prédilection pour me rebooster, me gonfler le moral et me détendre. Et oui, même du haut de mon âge de dinosaure. Il est dans mes plaisirs coupables. Netflix a bien compris mes goûts si j’en crois les propositions sous mon compte. J’ai craqué sur Duff: le faire-valoir. Et je ne le regrette pas.

Synopsis : Lorsqu’une ado découvre qu’elle sert de faire-valoir à ses copines, toutes jolies et populaires, elle décide de faire appel au beau mec du lycée pour tout changer.

Duff le faire valoir

Mon avis:

Duff est parvenu à allier habilement un récit crédible avec des héros attachants. J’ai dans ma liste plusieurs films que j’aime revoir juste pour ces deux points comme le merveilleux Easy Girl. Bon, d’accord sur ce dernier, j’avoue que le combo lié à une belle rousse, j’ai d’autant plus de raisons de craquer. Ici, j’ai souri en pensant à des films comme Breakfast club, Juno, Pump up the volume ou La Folle Journée de Ferris Bueller. J’ai succombé au charme du casting, aux répliques, aux photographies. Le duo formé par Mae Whitman – Robbie Amell remporte tous les suffrages de mon coeur. Il m’a fait fondre. Le Duff fait sourire. Le Duff s’explique par cette personne qui sert de faire valoir. Elle met en valeur son ami(e). L’héroïne Bianca en est l’exemple parfait. Intelligente, mignonne, elle ignore son potentiel. Ses deux meilleures amies sont des vraies poupées, magnifiques. Son meilleur ami la traite de Duff un jour et tout bascule.

« DUFF : le faire-valoir » offre un spectacle divertissant. Les liens tissés sur les bancs de l’école, les ficelles qui se détachent, les amitiés qui se transforment avec ses propriétaires. Tout tient la route, même à la sauce américaine. La trame pourrait se coller au quotidien des lycéens français sur le fond, sur les dynamiques relationnels et les interrogations. Mae Whitman est tout simplement sublime dans son interprétation de Bianca. Et face à elle, en beau garçon séduisant, en meilleur ami, plus si meilleur ami que ça Robbie Amell joueur vedette, un peu idiot. Les deux donnent naissance à une équipe surprenante.

« DUFF : le faire-valoir » s’est avéré un vrai plaisir, délicieux. Sans être l’originalité du siècle, et je ne lui demandais pas de l’être, le film a su me divertir, m’offrir un moment sympathique à souhait avec des nuances d’amitiés, une romance et un casting mignon comme tout. Que demande le peuple? Mon cerveau et mon coeur ont trouvé l’amourette douce, drôle et sucrée. La séduction opère et bien. Je signe direct pour d’autres films dans le genre. Un film pour remplir son stock de bonne humeur, de papillons tendres, de sourires. Un film à déguster lové dans son fauteuil avec un thé et des nounours.

 Ma note: 
8/10
Disponible sur Netflix France.
En 2016, The Duff de Kody Keplinger, sort en librairie aux éditions Hachette. 

Je suis curieuse de le lire. si il conserve le même style que le film je signe.

Bianca n’est pas très jolie mais a deux meilleures copines et est assez maline pour ne pas tomber sous le charme de Wesley, qui la surnomme la Duff : dodue, utile et franchement fade. Mais un jour, elle se demande si ses amies ne sont pas en réalité ses ennemies. Elle décide de sortir de l’ombre et de se débarrasser de son surnom en menant une révolution contre les règles sociales du lycée.

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